« Nous aurons toujours assez du néant de la tombe pour offrir son obole à l’immobilité. »
(La puissance d’exister, Manifeste hédoniste, 2006)
Dans la même veine, le père d’une connaissance particulièrement indolente (et donc sujette à se tirer difficilement hors de sa couche avant 11 h) la tançait régulièrement d’un « tu auras bien le temps de dormir quand tu seras morte ! »
Je ne crains que mon organisme n’aie que trop intériorisé les préconisations de ce bon Michel et de ce délicat papa. J’ai beau faire, quelque soit l’heure à laquelle je me couche, je me réveille, pour de bon, avant 6 h 30 le matin.
L’avantage, j’ai du temps pour relire Onfray.
eh ben les mojitos ça fait cogiter le lendemain!
Je ne pourrais que te conseiller « L’homme pressé » de Paul Morand.
On passe notre vie à se dépêcher d’attendre notre mort !
@ flyos : aaah voui, j’en ai entendu parler, faudrait que je le lise.
Il y a tant d’agités qui ne bougent pas.
Beaucoup d’enfants par exemple.
Les fameux hyperactifs…
Bouger, avancer, s’élever.
N’est ca pas tout le contraire d’un blog par exemple…