Grosse fête, c’était ma 2ème semaine de suite avec ZERO déplacement, bien que très chargée point de vue boulot (doux euphémisme, 3 nocturnes dans la semaine, tout ce que j’aime).
Au menu des festivités tout de même, un rassemblement entre filles, comme on les aime, chez mon Tonton Kiki, à la Bouteillerie, rue de la Martinière (courrez y).
Le printemps est quasiment là, dans notre bonne ville de Lyon, et ça c’est très cool.
D’ailleurs, on a pu prendre la première bière en terrasse de la saison. Spéciale dédicace au frérot, c’est de la mexicaine.
D’ailleurs, j’ai fait découvrir Lyon, ses pentes et ses collines, St Jean, St Georges, Bellecour et Perrache, Fourvière, ses bouchons (ceux là où on mange, pas sous le tunnel), ses grosses péniches sur les bords de Rhône (rien à voir avec les portugais, merci), et les mojitos de la Passagère, à un twittos parisien de passage, @nzidane (rien à voir avec le footballeur, quoique une problématique capillaire pas très éloignée).
Ensuite, j’ai honoré mes tâches ménagères habituelles, notamment en pliant le linge devant des replay des Maternelles (et @zapette). Cette activité hautement pénible à la base (plier des centaines de slips et des milliers de chaussettes, sans compter les draps de 8 m²) en devient quasi supportable, c’est formidable, je vous le recommande.
J’ai aussi pu contempler l’envahissement régulier mais indéniable du bord de la baignoire. Le dinosaure aime le bord de bain.
Et en passant, pour finir, une petite citation qui ravira tout les vieux machins (34 ans dans un mois, quelle aventure mes amis) qui ont déjà l’impression de se faire marcher sur les harpions par ces représentants arrogants de la génération Y. Si toi aussi au bout de 2 mojitos ou 3 verres de vin tu as l’impression de prendre une énorme murge (c’est bien, ça te fait des économies), si toi aussi tu préfères être assis dans les bars plutôt que debout au comptoir, si toi aussi tu arrives plus à faire de grasses mat le WE (hors question de réveil par les enfants), alors savoure cette phrase. Oui on est assis (au fond du bar, avec un seul verre), mais on voit loin (enfin assez) (et avec de bonnes lunettes).
Je vous embrasse les affreux.